**Gérard Fumex, journaliste à librinfo, a été agressé sauvagement par des sbires de l’extrême droite**.

**La seule information qu’un média doit mettre en avant est qu’un journaliste a été agressé pendant l’exercice de son métier**.


- librinfo74.fr/gerard-fumex-jou

Une manifestation en solidarité avec l’assassinat du jeune Thomas à Crépol s’est tenue ce dimanche 26 novembre 2023 à Annecy.

Une manifestation encadrée par les militants d’extrême droite de Reconquête.

Il est surprenant que le Préfet, généralement bien informé, ait eu la naïveté d’autoriser cette manifestation demandé par une association paravent du parti politique identitaire et homophobe de Zémour.

Les mêmes manifestations avaient été interdites par les préfectures dans de nombreuses communes de France.

Une erreur du Préfet, car celle d’Annecy était bien organisée par les militants d’extrême droite de reconquête avec la participation d’Alexandre Gabriac, militant de Civitas, plusieurs fois condamné pour avoir, entre autre, diffusé une photo faisant le signe nazi. 


Notre journaliste, Gérard Fumex, réalisant un reportage pour notre média librinfo, a été violemment pris à partie par ces militants, affrontant une pression hostile mâtinée de haine.

Après avoir été jeté à terre, Il a reçu un violent coup de pied dans l’oreille, provoquant une déchirure du lobe, une atteinte dans le conduit de l’oreille provoquant un important saignement.

**Une police passive et spectatrice
**

L'agresseur qui m'a arraché mon portable

À aucun moment les policiers sont intervenus pendant l’agression. Après avoir reçu le coup de pied étant au sol, un policier s’est déplacé pour l’aider à le relever sans intervenir auprès de l’agresseur. Il a été mis en sécurité sur un banc.

Vous n’aviez pas à les provoquer !


Cette phrase prononcée à son intention par ce policier nous a laissé perplexe.

Outre le fait qu’il n’avait pas à juger la démarche d’un journaliste, ce commentaire, qui sous entend que c’est de la responsabilité de la victime d’avoir été agressé, est inadmissible de la part d’un policier.

**L’agresseur n’a pas été inquiété
**

À 4 mètres de l’agression, les policiers ne pouvaient ne pas voir l’agresseur et l’identifier.


Légalement, dans ces situations, les forces de l’ordre, témoins d’une agression, doivent demander à la victime si elle porte plainte, ce qu’il aurait fait s’il avait été sollicité.

Dans ces conditions, les policiers sont habilités à mettre l’agresseur en garde à vue.


*En aucun cas les policiers ont demandé à Gérard Fumex s’il voulait porter plainte*.

Assis sur le banc, sonné, il n’a pas pu voir si l’identité de l’agresseur a été recueillie par les policiers.

Nous nous renseignerons auprès de la préfecture pour savoir si un rapport a été écrit et si l’identité de l’agresseur a été relevé.

*Par contre, celle de Gérard Fumex a été scrupuleusement relevée*.

**La manifestation est partie tranquillement, ”protégée” par les forces de l’ordre**.

Créer un contre-feux en affirmant qu’un manifestant a dû de rendre aux urgences


Il est coutumier dans les milieux d’extrême droite d’inventer une agression de la victime, pour essayer de minimiser celle réelle perpétré par les militants d’extrême droite.

Ce fut le cas dans cette affaire où les organisateurs de la manifestation ont raconté à la journaliste du Dauphiné libéré qu’un des leurs aurait été frappé et emmené aux urgences.


**Un article du Dauphiné Libéré contestable sur le plan journalistique
**

Alors que la seule victime d’une agression, emmenée aux urgences par les secours, était notre journaliste, la rédactrice de l’article du Dauphiné a relayé maladroitement, mais de bonne foi, les dires des militants d’extrême droite sans vérifier si effectivement un des leurs avait été emmené aux urgences.


La seule information qu’un média doit mettre en avant est qu’un journaliste a été agressé pendant l’exercice de son métier.


Les circonstances seront à éclaircir par la justice et non par le média qui peut-être manipulé.

Une grande prudence doit être observée avant de relayer des informations non vérifiées.`

#2023-10-14

14 octobre 2023

- ici-grenoble.org/agenda

Samedi 14 octobre 2023

14h00 : Atelier sur la contraception testiculaire et fabrication de sous-vêtements contraceptifs

14h00 : Balade sensible et éclairée de la friche polluée Becker (Pont-de-Claix)

! 14h00 : Formation anti-répression (que faire face à la police et à la justice)

! 14h00 : Rencontre avec la rédaction de Mediapart

18h00 : Débat-polémique : Quelle place pour le nucléaire dans les luttes écologistes ?

18h30 : Présentation du nouveau jeu "Time-Line féministe"

18h45 : Cinéma : Le procès Goldman (sur un braqueur et révolutionnaire dans les années 70)

19h30 : Bal folk contre les travaux de la RD1075 (Trièves)

19h30 : Paye ton antirep ! Concert anti-répression

Jeudi 1é octobre 2023 #2023-10-12

- ici-grenoble.org/agenda

Jeudi 12 octobre 2023

12h00 : Repas sur place ou à emporter proposés par Cuisine Sans Frontières

14h30 : Permanence d'autodéfense pour l'accès aux droits

16h00 : Ciné-doc : Notre corps (sur la parole et le corps des femmes dans un service de gynécologie. Bouleversant.)

17h00 : Permanence du DAL Isère (pour tout problème de logement)

! 18h00 : Point info sur la mobilisation nationale contre l’A69

18h30 : Club de lectures féministes de Grenoble

18h30 : Rencontres autour de la Sécurité Sociale de l'Alimentation (tendances et expérimentation à Grenoble)

18h30 : Conférence : Le tournant géopolitique de la guerre en Ukraine

19h00 : Ciné-débat : Les leçons des manifs de Hong-Kong 2019-2020

19h00 : Lecture publique de "Fiévreuse plébéienne" (sur l'amour, la précarité, la révolution)

20h00 : Cinéma : Classe de lutte (sur une ouvrière révoltée, avec le groupe Medvedkine de Besançon)

Lundi 9 octobre 2023

- ici-grenoble.org/agenda

~ : Distribution de repas gratuits pour les personnes les plus démunies

12h00 : AG Culture DANGER INTERMITTENCE ET DROITS DES CHÔMEURS. SEUSES !

12h00 : Campus : Repas vegan à prix libre proposés par La Tambrouille

14h00 : Permanence du garage associatif Les Soupapes (pour réparer sa voiture)

14h00 : Cinéma : Notre corps (une immersion bouleversante dans un service de gynécologie)

! 18h00 : Rencontre autour du livre "Mourir de son travail aujourd’hui. Enquête sur les cancers professionnels"

18h30 : Atelier ludique : La Fresque du Numérique (sur les impacts écologiques du high tech)

! 18h30 : Assemblée générale de luttes de l'agglomération grenobloise

18h30 : L'Autre Rentrée : Comment rendre l'Université plus accueillante pour les femmes ?

19h00 : Atelier de Bidouille Informatique Libre (pour réparer un ordi, installer linux, résoudre des problèmes...)

! 19h00 : Assemblée Antiraciste (ouverte à toute personne victime de racisme)

20h40 : Cinéma : Le procès Goldman (sur un braqueur et révolutionnaire dans les années 70)

Située dans l’Ain, dans un cadre isolé et champêtre, la villa Anne-Marie à Izieu a servi de refuge à 105 enfants âgés de 3 à 16 ans, entre mai 1943 et le 6 avril 1944

mahj.org/fr/programme/tu-te-so

L'exposition « Paroles et dessins des enfants de la maison d’Izieu » rassemble près de 150 photographies, documents d'archives et dessins d'enfants réalisés par les pensionnaires de cette colonie qui leur servit de refuge pendant la Seconde Guerre mondiale.

Située dans l’Ain, dans un cadre isolé et champêtre, la villa Anne-Marie à Izieu a servi de refuge à 105 enfants juifs âgés de 3 à 16 ans, entre mai 1943 et le 6 avril 1944, jour de la rafle ordonnée par Klaus Barbie. Les 44 pensionnaires et les 7 animateurs qui s’y trouvaient ont tous été déportés et assassinés, à l’exception d’une monitrice qui a survécu.

Originaires de toute l’Europe, nombre de ces enfants avaient auparavant connu l’internement dans les camps de la zone sud, puis l’accueil dans différentes maisons de l’Œuvre de secours aux enfants. L’exposition montre la vie à la maison d'Izieu dans l'Ain où les enfants trouvèrent le réconfort physique et psychologique d’une vie rythmée par l’école, les tâches domestiques, les promenades, les jeux et divers moments festifs. L’éducation artistique est particulièrement importante, d’où l’organisation de nombreuses activités théâtrales, concours de chants, récitals de poésie, ateliers d’écriture et de dessin.

Consciente du danger qui planait sur les lieux depuis l’occupation de la zone italienne par la Wehrmacht, la directrice de la colonie, Sabine Zlatin, était absente lors de la rafle, préparant la dispersion de la colonie. À son retour à Izieu, elle a préservé ce qu’elle pouvait des dessins, lettres ou petits mots abandonnés, autant de témoignages de vies enfantines brusquement interrompues.

Cette exposition est organisée en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, dépositaire des archives de Sabine Zlatin, et la Maison d’Izieu – mémorial des enfants juifs exterminés. Outre des documents d’archives et des photographies, elle présente de nombreux dessins d’enfants, notamment des histoires crayonnées sur de longues bandes de papier projetées lors des veillées selon le principe de la lanterne magique.

#2023-07-06

A la une de L’AG écolo anticapitaliste

- ici-grenoble.org/article/lag-e

Introduction
-----------------

Face au désastre climatique, vous pensez qu'il ne reste que deux scénarios
possibles : l'aggravation ou le renversement du système capitaliste ?

Ce jeudi 6 juillet à 19h au 38 rue d'Alembert, c'est l'Assemblée Générale
Écolo Anticapitaliste de Grenoble.

Qui l'organise ? Dans quel but concret ?

Voici l'invitation
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"Cette assemblée générale a vu le jour à l'occasion d'une manifestation
d'opposition à la mascarade Grenoble Capitale Verte européenne 2022.

Nous sommes composé·es d'organisations, de collectifs, de partis politiques,
mais aussi d'individus, qui ensemble, souhaitons porter des revendications
écologiques anticapitalistes.

L'écologie et l'anticapitalisme sont pour nous indissociables : le capitalisme
se fonde sur l'accumulation, et donc l'exploitation, de ressources qui
se font de plus en plus rares, au profit d'entreprises ou de patrons qui
s'enrichissent de plus en plus sur le dos des travailleur·euses et des
personnes précaires.

Il est impossible de croire en un capitalisme vert pour nous sauver de
la crise écologique : les solutions techniques cherchent en réalité à
ouvrir de nouveaux marchés lucratifs sans remettre en question le principe-même
du capitalisme qui est à la racine des problèmes environnementaux.

Nous avons besoins de retrouver une autonomie et une souveraineté
collective pour pouvoir faire des choix de société cohérents avec les
limites planétaires.
Or cela est inconcevable si les décisions économiques et politiques sont
prises par une classe dont les intérêts divergent de ceux du bien commun.

Combattre le capitalisme c'est aussi faire la critique d'une idéologie
propagée par les classes dominantes qui promeut la consommation et un
mode de vie débridé comme marqueurs de réussite sociale.

Nous souhaitons lutter contre cette vision du monde et ces normes qui
doivent êtres changées pour aller vers une sobriété qui ne soit pas subie
mais désirée car profitable à tout le monde.

Nous avons fait le choix de nous organiser en AG pour permettre à des
individus aussi bien qu'à des personnes mandatées par leur collectif de
rejoindre l'organisation.

Ce cadre unitaire nous permet d'avoir plus de force pour mener cette lutte
transversale, et de rattacher et mêler des causes diverses qui ne se
croisent pas facilement dans d'autres espaces.

Le but n'est pas de remplacer les personnes déjà en lutte mais d'être un
outil de soutien et de renforcement. Nos opinions peuvent diverger mais
nous nous rejoignons sur ces revendications que nous souhaitons porter
à chacune de nos apparitions publiques.

Nous revendiquons :

- un accès mutualisé et inconditionnel à tous les besoins vitaux pour tous·tes.
Ce sont les plus riches qui polluent et consomment le plus, impactant
les personnes les plus précaires qui se retrouvent privées des ressources
nécessaires à leur survie (eau, nourriture, logement, santé, transport, etc.).
- des transports en commun gratuits et la suppression des ZFE qui
précarisent encore plus
- la réquisition des logements vides et la rénovation des logements
sans hausse de loyer, notamment les moins bien isolés
- la fin de l’artificialisation des sols
- la fin des grands projets urbains écologiquement condamnables qui ne
répondent qu'à des logiques de croissance et de rayonnement économiques.
D'autant plus quand ces projets s'accompagnent d'une gentrification des quartiers.

Pour cela, nos moyens d'action sont :

- le renforcement et le soutien des luttes locales
- la construction d'un cadre unitaire large d'organisations, d'individus,
de collectifs qui permet de partager, échanger, et construire des
revendications communes et unies
- l'apparition lors de manifestations ou l'action conjointe pour
construire un rapport de forces sur le territoire
- le relai d'informations

Rejoins-nous et viens nous aider à construire la lutte !"

À 18h30

Au Centre Social « Tchoukar »
38 rue d'Alembert
Grenoble

**Agenda ici-grenoble**
==========================

- 09h59 ici-grenoble.org/evenement/dis
- 14h10 ici-grenoble.org/evenement/cin
- 18h25 ici-grenoble.org/evenement/cin
- 18h30 ici-grenoble.org/evenement/ape

- grenoble.alternatiba.eu/

- 18h30 ici-grenoble.org/evenement/cer
- |important| 19h00 ici-grenoble.org/evenement/ag-
- 21h15 ici-grenoble.org/evenement/cin

- grenoble.frama.io/luttes-2023/

Actions du mercredi 28 juin 2023

#2023-06-28

- ici-grenoble.org/evenement/ras

- grenoble.frama.io/luttes-2023/

Introduction

Le désastre climatique s’approfondit, l’écologie radicale monte en puissance, le gouvernement diabolise et réprime, mais ce n’est qu’un début .

Mercredi 28 juin 2023 à 18h, le comité grenoblois des Soulèvements de la Terre organise un rassemblement festif devant la Préfecture de l’Isère, contre la dissolution autoritaire du mouvement.

Face au désastre climatique, vous pensez qu’il ne reste que deux scénarios possibles : soit l’aggravation, soit le renversement du système capitaliste ?
Voici l’appel à manifester ¶

“La première menace de dissolution de Gérald Darmanin le 28 mars dernier a provoqué une vague de soutiens inédite : plus de 100 000 personnes se sont revendiquées des Soulèvements de la Terre dans un appel qui continue de se renforcer.

Dans le même temps, partout en France et à l’étranger ont fleuri plus de 170 comités locaux.

Aujourd’hui, mercredi 21 juin 2023, le gouvernement prononce la dissolution effective des Soulèvements de la Terre, que nous dénonçons comme une attaque grave contre les libertés fondamentales et la démocratie.

Cette dissolution marque un précédent dangereux, un point de non-retour dans la dérive autoritaire du gouvernement. Décrié par l’ONU pour son maintien de l’ordre brutal, ses violences policières, sa criminalisation du militantisme écologique, le gouvernement a pour seule réponse une fuite en avant répressive.

Après avoir court-circuité la représentation nationale à coup de 49.3 et ignoré des millions de manifestants lors de sa réforme des retraites, il rend illégal un mouvement soutenu par une centaine de milliers de citoyennes et citoyens.

Alors que l’urgence climatique et écologique se fait chaque jour plus pressante, que les sécheresses et incendies s’intensifient, que la biodiversité s’effondre, le gouvernement poursuit son œuvre écocidaire, au service des lobbies du BTP, de l’agrochimie et de la finance.

En témoigne l’appel d’Emmanuel Macron à une « pause réglementaire sur les normes environnementales européennes », comme si la catastrophe pouvait attendre. Ces manœuvres sont celles d’un vieux monde, condamné mais incapable de changer de direction.

Face à un capitalisme frénétique dans son accaparement de la terre, de l’eau et des ressources, les mouvements de défense du vivant sont taxés d’écoterroristes. La criminalisation des oppositions n’est que la stratégie classique d’un pouvoir aux abois.

Ce que le gouvernement feint d’ignorer, c’est que la dissolution des Soulèvements de la Terre ne suffira pas. Un mouvement qui se bat pour la protection des biens communs que sont l’eau et la terre, ne peut être dissout.

Partout nous refleurirons car la répression brutale imposée par le gouvernement reste toujours moins effrayante que l’avenir suffoquant qu’il nous réserve.

Soyons nombreuses et nombreux à manifester notre soutien aux Soulèvements de la Terre, rejoignons les appels des comités locaux, et notamment celui de Grenoble !

Donnons-nous rendez-vous collectivement la semaine prochaine, mercredi 28 juin 2023 à 18h devant la préfecture de l’Isère, place de Verdun pour dénoncer cette dangereuse dissolution par un soulèvement festif !”

Contact : sdt-grenoble @ proton . me

Appel à soutien suite à une vague d'arrestations en France en lien avec le désarmement d'une usine Lafarge

lessoulevementsdelaterre.org/b

L'opération policière de ce matin, sur laquelle le ministère n'a pour l'instant pas communiqué, s'inscrit de toute évidence dans l'escalade répressive que le gouvernement mène contre les mouvements sociaux et écologistes avec une accélération notable ces derniers mois : violences policières effroyables à Sainte-Soline, régime d'exception alimenté par le spectre de "l'éco-terrorisme" ou encore menaces de dissolution des Soulèvements de la Terre. Par cette criminalisation, c'est bien l'association de malfaiteurs qu'il constitue avec les industries mortifères que le gouvernement révèle.

Car nous le savons : c’est bien Lafarge-Holcim qui est coupable de destruction en bande organisée ! Sur les 50 sites les plus polluants de France, 17 sont des cimenteries. Le béton représente 8% des émissions de Co2 mondiales. Quant au secteur du BTP c'est 39 % des émissions de CO2 au niveau mondial et de 33% des émissions françaises. L'entreprise Lafarge-Holcim semble cumuler les scandales environnementaux dans ses carrières, centrales à béton et cimenteries. C’est bien aussi Lafarge-Holcim qui a financé Daesh en Syrie, avec l’accord tacite de la DGSE et de l'État. L'entreprise a d'ailleurs été condamnée pour financement du terrorisme par la justice américaine en octobre 2022.

Assimiler aujourd’hui à du terrorisme l’usage légitime de la pince coupante, de la masse et de la clef à molette en vue de neutraliser des infrastructures est un inacceptable retournement ! Les centrales à béton sont des armes d'artificialisation massive des terres agricoles et de destruction de la biodiversité, des bombes à retardement climatique. Il est donc plus que jamais légitime et nécessaire de les désarmer.

...

Les actions de désarmement de l'industrie du béton se répandent et ce n’est probablement qu’un début. Nous appelons à les amplifier.

Nous exigeons la libération immédiate de toutes les personnes arrêtées ce jour.

Nous appelons à des gestes de solidarité avec elles dans toutes les manifs retraite de demain.

Nous appelons à des rassemblements de soutien partout en France mercredi soir (07 juin), face à des préfectures, ou des sites Lafarge-Holcim.

Nous appelons à converger massivement ce dimanche en Loire-Atlantique pour les convois Fin de carrières, et notamment contre l’extension d’un site Lafarge à Saint Colomban

Ne nous laissons pas intimider par la répression, désarmons le béton !

- grenoble.frama.io/luttes/retra

#2023-06-06

- grenoble.frama.io/luttes/retra

ici-grenoble.org/agenda

05h00 ici-grenoble.org/evenement/le-

important 08h00 ici-grenoble.org/evenement/app

communisme_libertaire 10h00 ici-grenoble.org/evenement/cor

important 10h00 ici-grenoble.org/evenement/man

12h00 ici-grenoble.org/evenement/per

12h00 ici-grenoble.org/evenement/rep

16h10 🎥 ici-grenoble.org/evenement/cin

17h00 ici-grenoble.org/evenement/per

important 18h30 ici-grenoble.org/evenement/ag-

18h30 ♀️✊🏽 ici-grenoble.org/evenement/cer

20h15 🎥 ici-grenoble.org/evenement/cin

20h30 ici-grenoble.org/evenement/cin

#2023-06-05

ici-grenoble.org/article/17-00 , ici-grenoble.org/newsletter

Il y a un an, le conseil municipal de Grenoble votait l’expérimentation par le maire de la réquisition de logements vacants.

Depuis, rien ne s’est passé, malgré une douzaine d’écoles occupées pour mettre des familles à l’abri, et de plus en plus d’appels au 115.

Ce lundi 5 juin 2023 à 16h sur l’esplanade Alain Le Rey (Caserne de Bonne), l’association Droit Au Logement Isère organise un rassemblement avec les familles mal-logéEs, leurs soutiens et les organisations souhaitant faire appliquer la loi de réquisition des logements vides.

Précisons que sur les 197 000 logements privés de l’agglomération grenobloise, près de 17 000 sont des logements vides : soit des logements dégradés dont les propriétaires ne peuvent assurer les travaux de rénovation, soit des logements spéculatifs acquis par des groupes privés et des banques à l’affût d’opérations immobilières juteuses.

Sur le même territoire, des milliers de personnes sont à la rue , des dizaines de milliers dans des logements indignes.

Cette indécence vous donnerait envie de réquisitionner les logements vides ?

Oui, mais comment ? Que dit la loi ? Pour tout comprendre, nous vous recommandons la récente brochure du DAL Isère : Les lois de réquisition des logements vides pour les nul-e-s.

À 18h

Sur l’esplanade Alain Le Rey Caserne de Bonne Grenoble

- grenoble.frama.io/luttes/retra

#2023-06-04-

ici-grenoble.org/evenement/ser

- grenoble.frama.io/luttes/retra

Le média ici Grenoble vous propose ses "coups de coeur" : des podcasts,
des émissions ou des films qui nous ont particulièrement marqués.

Aujourd'hui nous vous proposons une série marquante sur le `désastre
climatique en cours <ici-grenoble.org/infos/la-une.>`_ : la série L'effondrement (2019).

Pourquoi ce choix ? Parce qu'il s'agit à notre connaissance de la plus
réaliste des séries post-apocalyptiques.
Une série qui nous plonge dans les conséquences matérielles mais aussi
psychologiques d'un monde qui s'effondre.

Chaque épisode est un plan séquence de 15 à 25 minutes, ce qui permet de
ressentir la détresse et l'urgence des situations vécues.

Attention, ces courts-métrages sont passionnants mais atroces de par
leur réalisme. Risque de cauchemars...

Par ailleurs, cette série peut choquer en terme de sexisme, d'idéologie,
de rapport à la politique, de vision de l'humanité...

Bref, une série à débattre.

**Et vous, en cas de grande crise systémique, comment imaginez-vous l'évolution de la société ?**

Les 8 épisodes sont disponibles sur Youtube:

1. `Le Supermarché <youtube.com/watch?v=vLa-HhBpgc>`_ (youtube.com/watch?v=vLa-HhBpgc)
2. `La Station Service <youtube.com/watch?v=o8JrVlD_Nz>`_ (youtube.com/watch?v=o8JrVlD_Nz)
3. `L'aérodrome <youtube.com/watch?v=riT6DFedz0>`_ (youtube.com/watch?v=riT6DFedz0)
4. `Le Hameau <youtube.com/watch?v=7fFKKy4n_1>`_ (youtube.com/watch?v=7fFKKy4n_1)
5. `La Centrale <youtube.com/watch?v=HiZW1uAi2f>`_ (youtube.com/watch?v=HiZW1uAi2f)
6. `La Maison de retraite <youtube.com/watch?v=lZB_r4v50C>`_ (youtube.com/watch?v=lZB_r4v50C)
7. `L'île <youtube.com/watch?v=q1cIf4LBQH>`_ (youtube.com/watch?v=q1cIf4LBQH)
8. `L'émission <youtube.com/watch?v=g9KfNKS9FN>`_ (youtube.com/watch?v=g9KfNKS9FN)

- grenoble.frama.io/luttes/retra

#2023-06-02

- ici-grenoble.org/article/soute

- grenoble.frama.io/luttes/retra

Lors de la manifestation du 1er mai 2023 à Grenoble, Yovan et Mathieu ont été arrêtés et placés en détention provisoire à Varces.

Pourquoi ?

Que s’est-il passé pendant cette manifestation ?

En quoi est-ce un tournant dans la répression à Grenoble ?

Voici le récit et les explications du Collectif Anti-Répression Isère :
“Tribunal politique, où va la République ??? ¶

Suite au procès en comparution immédiate pour les événements du premier mai, nous tenons, en tant que victimes de la répression judiciaire et leurs soutiens, à exprimer notre point de vue sur les faits.

En effet, pendant toute la durée de l’enquête et du procès, la communication de la préfecture, du procureur et de la police a saturé l’espace médiatique.

Nous souhaitons donc vous faire part de l’histoire telle qu’elle a été vécue de l’intérieur par les principaux concernés.

Les deux personnes qui comparaissaient, Yovan et Mathieu, étaient accusées de violences aggravées sur Personnes Dépositaires de l’Autorité Publique entraînant des ITT de plus de 8 jours (10 et 21 jours respectivement), ainsi que d’autres délits mineurs (rébellion, refus de signalétique…).

Elles ont été condamnées à 4 et 6 mois de prison ferme aménagés sous forme de bracelet électronique, ainsi que du sursis, 3 ans d’interdiction de manifester, 1 an de privation des droits civiques et 5 ans d’interdiction de port d’arme.

Pour nous, cette condamnation est avant tout politique, car elle s’est basée sur un dossier pourtant vide de preuves et avec une gestion de l’affaire par la police et la justice assez exceptionnelle pour une comparution immédiate.

Le 1er mai 2023, vers 13h, en fin de manifestation, un cortège s’est détaché de l’anneau de vitesse pour s’engager dans le parc Paul Mistral.

Six ou sept agents de la BAC ont alors décidé de bloquer le cortège sans attendre de renforts. Ils ont fait face à une détermination plus forte que d’habitude, les manifestants refusant de reculer face aux grenades jetées par la BAC, et ont décidé d’avancer rapidement.

Dans la foulée, des renforts de la CDI sont arrivés et les policiers ont chargé le cortège. Au cours de l’affrontement, six manifestants et deux policiers ont été blessés.

Une personne, Mathieu, a également été arrêtée. Il a été frappé à la tête et traîné au sol sur 50 mètres.

Une autre personne, Yovan, a été arrêtée 2h30 plus tard au carrefour de l’Aigle, lors d’un rassemblement devant le McDonald’s, sans qu’un motif lui soit donné, au seul prétexte qu’il avait de la boue sur le pantalon. L’arrestation et le transport ont été (assez) brutaux pour lui aussi.

Suite à cette arrestation, Yovan a été placé en garde à vue sans explications précises des faits qui lui étaient reprochés. Malgré sa demande, Yovan n’a vu son avocat qu’à 11h le lendemain. C’est lors de cet entretien qu’il a découvert le motif exact de sa garde à vue : il était suspecté d’avoir jeté une pierre sur un policier, entraînant une ITT de 10 jours. Pourtant, la première description du lanceur de cailloux n’apparaît au dossier qu’à partir de 18h30, soit 2h30 après l’arrestation.

Quant à Mathieu, il aurait été formellement reconnu sur une séquence photographique… par les policiers qui l’ont arrêté ! Pourtant, il apparaît masqué sur les images prises pendant la manifestation…

Malgré une attitude conciliante de Yovan et des tentatives de se disculper (prise d’ADN, empreintes digitales et témoignage précis), tout a été retenu à charge contre lui, tout comme Mathieu qui a préféré garder le silence.

Comme d’habitude, la police, n’ayant pas pour but d’enquêter à décharge, n’a pas cherché à écouter les gardés à vue.

Lors de la prolongation de la garde à vue, malgré sa demande d’avocat, Yovan n’en a pas eu. Il a donc été menotté, intimidé, provoqué et même menacé lors de sa deuxième audition. Pire encore, lors de son procès, l’avocat a avancé des preuves montrant que l’avocat commis d’office n’avait pas été prévenu de la prolongation de cette garde à vue.

Le lendemain matin, Yovan a été emmené à son domicile pour une perquisition.

Des policiers en civil, cagoulés, ont procédé à cette perquisition, et seule sa carte d’identité a été récupérée. Il en a été de même pour les parents de Mathieu, bien que cette perquisition ne soit pas mentionnée dans le dossier.

Mathieu et Yovan ont ensuite été transférés devant la Juge des libertés et des détentions, qui, malgré de très bonnes garanties de représentation, a choisi la détention provisoire en prenant comme excuse les manifestations de soutien devant le tribunal.

Ils ont ensuite été écroués à la prison de Varces le mercredi soir, isolés pendant 2 jours supplémentaires, dans l’incapacité de préparer correctement leur défense.

Toujours dans l’optique de prolonger leur calvaire, ils ont été déférés au palais de justice le vendredi à 12h30, sans avoir mangé depuis 17h30 la veille. Ils ont vu leurs avocats à 13h30 pour une audience à 14h, leur laissant un temps très réduit pour préparer leur défense.

Pendant près de 4h30 de procès, les soutiens ont été empêchés d’entrer dans le tribunal pour assister au procès, alors que quelques places restaient libres malgré la monopolisation de la salle par des policiers.

Seuls quelques membres de la famille ont été autorisés à entrer grâce à la pression des soutiens extérieurs.

Cette interdiction d’entrer dans le tribunal a également empêché plusieurs personnes de se rendre au tribunal pour d’autres raisons, comme assister à leur propre procès.

Les deux prévenus ont été jugés sur le fond le jour même car ils ont choisi de ne pas demander de délais par peur de la détention provisoire.

À plusieurs reprises lors du procès, les éléments des dossiers ont été mélangés par l’accusation, confondant Yovan et Mathieu. Les avocats des deux prévenus ont mis en avant des dossiers vides dont les rares éléments posaient de réels problèmes chronologiques.

Après 1h30 de délibération, Mathieu et Yovan ont été reconnus coupables sans preuves tangibles, et plusieurs policiers ont obtenu des dommages et intérêts malgré l’absence d’ITT. Les deux prévenus ont fait appel, ce qui, en attendant un nouveau procès, les rend de nouveau “présumés innocents” et suspend donc la condamnation.

On ne peut que s’indigner de ce procès.

Étant donné que les deux camarades sont de nouveau libres et “présumés innocents”, la preuve est faite que rien ne justifiait leur placement en détention provisoire et l’utilisation de la procédure de comparution immédiate.

Pour rappel, cette procédure indigne est généralement utilisée pour des affaires suffisamment simples pour permettre un jugement immédiat sans investigation supplémentaire et pour des personnes au statut social généralement moins privilégié que nos deux camarades (chômeurs, sans-domicile fixe, sans-papiers, travailleurs pauvres, personnes racisées, multirécidivistes, etc.), avec pour résultat des audiences d’une demi-heure et des condamnations à des peines de prison ferme élevées.

Si l’audience a duré si longtemps, si la police a dû garder le tribunal et si tout s’est fait avec autant de précipitation, c’est que la procédure a été instrumentalisée à des fins politiques et médiatiques.

Nos deux camarades n’étaient pas les seuls visés à travers cette procédure, mais bien toute la mobilisation avec eux.

Le but était manifestement de terroriser le mouvement social et d’empêcher que d’autres actions déterminées aient lieu, tout en masquant les responsabilités du travail répréhensible de la police dans cette affaire.
Appel à vidéos ¶

Dans la perspective de l’appel qui aura lieu dans quelques mois, nous lançons un appel à vidéos pour pouvoir contribuer à disculper les deux accusés.

Vous pouvez nous les transmettre par e-mail (en utilisant un hébergeur tiers comme www.grosfichiers.com, s’il vous plaît) ou en nous rencontrant directement.

En attendant, on ne lâche rien et on continue à se mobiliser pour un monde meilleur (et après aussi).”

Le Collectif Anti-Répression Isère car38

#2023-06-01

- metro-grenoble.eelv.fr/lol-log

- grenoble.frama.io/luttes/retra

La séance est prévue à 19h à la Maison des écologistes 8 rue Marceline Desbordes-Valmore, Grenoble (openstreetmap.org/#map=18/45.1) et sera suivie d’un débat avec un représentant de l’ @aprilorg , Jean-Christophe Becquet, et un autre de la ville d’Échirolles, @nicolasvivant

L’entrée est libre et gratuite.

Plus de détails en suivant ce lien internet : metro-grenoble.eelv.fr/lol-log

Un grand merci @Gallorum pour l’organisation de cet événement, lequel permet à notre travail de continuer à vivre.

À travers les entretiens de quatorze intervenants, « LoL » est un voyage en 8 étapes dans le cœur de nos habitudes numériques. Formellement, le film entremêle leurs points de vue, sans ajout de voix off, agrémentés d’illustrations parfois allégoriques nourries de films anciens.

Le logiciel est la base de l’informatique. Un téléphone portable, un réfrigérateur ou une voiture sont devenus des objets largement informatisés.

Ces logiciels sont composés de code appelé code source.

Or ce code a fini par être caché par les fabricants, car source de profits.

À l’heure où les cinq plus grosses capitalisations boursières mondiales sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, les populations sont-elles au fait de l’impact que leur usage du numérique a sur leur vie ?

Un film de François Zaïdi, Thierry Bayoud et Léa Deneuville sorti en 2019.

Actions du mercredi 31 mai 2023

- ici-grenoble.org/article/16-id

- grenoble.frama.io/luttes/retra

ici_grenoble A la une 16 idées de rencontres estivales ¶

festival-resistances.fr/

campclimat.eu/camps-climat-202

altercampagne.net/

chantierduvielaudon.wordpress.

reprisesdesavoirs.org/chantier

lagrandemarche.org/

amies.revuesilence.net/

lasevefestival.fr/

lesresistantes2023.fr/

ladecroissance.xyz/2023/05/23/

festival-douarnenez.com/fr/

lussasdoc.org/

uemss.org/

bureburebure.info/events/event

nouveaupartianticapitaliste.or

blog.lesenfantsdabord.org/gran

C’est bientôt l’été.. Une période idéale pour prendre du recul, faire de nouvelles rencontres, explorer des lieux alternatifs, rejoindre des actions collectives ou préparer la “rentrée sociale”.

Chaque été, le média ici Grenoble répertorie de nombreuses rencontres estivales un peu partout en France : des vélorutions, des manifestations, des visites de lieux alternatifs, des festivals de films engagés…

Voici déjà 16 propositions :

🎥 Le Festival de cinéma “Résistances” du 7 au 15 juillet à Foix

Le Camp Climat Rhône les 7 et 8 juillet près de Lyon

L’ Altertour à vélo du 9 juillet au 19 août de Montluçon à Besançon

Les Chantiers écologiques d’été du Viel Audon du 11 juillet au 26 août en Ardèche

Le Chantier éco-féministe Minervois du 12 au 16 juillet dans l’Hérault

Les Universités d’été antinucléaires du 13 au 29 juillet près de Dieppe

Le Campement autogéré et écolo des ami-e-s de la revue Silence du 22 juillet au 6 août en Dordogne

Le Festival écoféministe “La Sève” du 27 au 30 juillet aux Tanneries de Dijon

Les Rencontres des luttes locales et globales “Les Résistantes” du 3 au 6 août sur le plateau du Larzac

Les Festives de la décroissance du 8 au 13 août dans le Gers

🎥 Le Festival de cinéma de Douarnenez sur les premiers peuples d’Amérique du Nord du 19 au 26 août en Bretagne

🎥 Le Festival du film-documentaire de Lussas du 20 au 26 août en Ardèche

L’ Université d’été des mouvements sociaux et des solidarités du 23 au 27 août à Bobigny

Les Rencontres des luttes paysannes du 26 août au 3 septembre prèsde Bure

L’ Université d’été du NPA du 27 au 30 août à Port-Leucate

Les Rencontres d’été des Enfants d’abord sur l’instruction en famille du 26 août au 2 septembre en Charente

Attention, la plupart de ces rencontres nécessitent des inscriptions préalables, parfois plusieurs semaines voire plusieurs mois à l’avance…

#2023-05-30

2023-05-30 19h00 sdterre Réunion des Soulèvements de la Terre Grenoble ¶

- grenoble.frama.io/luttes/retra

- ici-grenoble.org/evenement/reu

- lessoulevementsdelaterre.org/

- youtube.com/@lessoulevementsde

- youtube.com/watch?v=A6j8unxb0x ( DOCUMENTAIRE | Le 17 Juin 2023, la montagne se soulève)

- instagram.com/soulevements.de.

- sdt-grenoble @ proton . me

Rejoignez les membres du comité grenoblois des Soulèvements de la Terre, qui se retrouvent pour faire un point sur les actions à venir, en particulier celle de juin contre le tunnel alpin du Lyon-Turin.

À propos du Lyon-Turin, nous vous recommandons ce nouveau reportage à propos des ravages du projet : youtube.com/watch?v=A6j8unxb0x

Cette réunion des Soulèvements de la Terre permettra :

A nos groupes de travail de présenter leurs avancées, besoins et projets.

Aux nouveaux.elles arrivant.e.s de s’informer sur notre fonctionnement et/ou de rejoindre le groupe de leur choix.

N’hésitez pas à nous contacter par mail pour toute question : sdt-grenoble @ proton . me

À 19h

Au 38 rue d’Alembert Grenoble

Le CRHA est sur Youtube depuis le 23 mai 2023 !

- youtube.com/@CRHA_Rassemblemen

- youtube.com/@CRHA_Rassemblemen

L’association CRHA est née suite aux rassemblements citoyens qui se sont spontanément organisés en 2007, puis en 2008, sur le plateau des Glières pour protester contre la récupération du lieu et de son histoire par N. Sarkozy. Elle organise chaque printemps depuis lors deux journées de témoignages, de réflexion et d’échanges autour des résistances d’aujourd’hui, en écho aux résistances d’hier.
Le samedi, au village de Thorens-Glières, sont organisés conférences, débats et projections de films.
Le dimanche matin, sur le plateau des Glières, des résistant.e.s d’hier et celles et ceux qui luttent aujourd’hui partagent la tribune pour témoigner de leurs engagements.

Ce rassemblement a pour enjeu la réappropriation citoyenne des acquis du programme du Conseil National de la Résistance, rédigé en 1944, (sécurité sociale, retraites par répartition, liberté de la presse…) et qui sont aujourd’hui plus que jamais menacés.

citoyens-resistants.fr/index.p

fr-fr.facebook.com/rassembleme

nitter.net/CRHA_glieres/rss

nitter.net/Gilles_Perret/rss

- glieres.frama.io/crha/resistan

- glieres.frama.io/crha/resistan

Actions du jeudi 25 mai 2023

- grenoble.frama.io/luttes/retra

- ici-grenoble.org/article/appel

- flagrant-deni.fr/

- linktr.ee/flagrantdeni

- helloasso.com/associations/fla

En cas de violence policière, comment déposer plainte ?

Comment empêcher un policier sadique de continuer d’exercer ?

Comment obtenir une “réparation” sans attendre la fin d’un procès ?

Aujourd’hui en France, il n’existe aucun guide complet pour répondre aux victimes de violences policières et soutenir le travail de leurs avocat·es.

Le média lyonnais Flagrant-déni (flagrant-deni.fr) lance un appel à dons pour les aider à finaliser “Le 17” : un guide pratique et juridique gratuit pour les victimes de violences policières.

Ce guide inédit est le résultat de 4 ans de recherches sur le droit applicable (jurisprudences et notes internes non publiées) et les pratiques policières et judiciaires.

Il proposera plus de 100 questions/réponses, des textes précis et sourcés avec un langage clair, des exemples concrets et des schémas explicatifs.

Pour en savoir plus et participer à l’appel à dons, c’est ici .

PS : Les dons à Flagrant-déni sont déductibles des impôts.

Lancé en 2022 à Lyon, Flagrant-déni.fr est un média indépendant national ET un collectif de soutien aux victimes de violences policières

Actions du mercredi 24 mai 2023

- grenoble.frama.io/luttes/retra

- framaforms.org/inscriptions-pr

rebellion 2023-05-24 18h30 à 20h Une initiation pour être Street médic à organisée par XR Grenoble et Alternatiba Grenoble ¶

Dimanche 14 mai 2023 de 14 à 22h au 8 boulevard de l’Esplanade, Alternatiba Grenoble ouvre un nouveau lieu de luttes : la Base d’Organisation Collective des ALternatives (BOCAL)

Une initiation pour être Street médic à organisée par XR Grenoble et Alternatiba Grenoble aura lieu le mercredi 24 mai 2023 au Bocal (Base d’Organisation Collective des ALternatives) d’alternatiba, le long de l’esplanade à Grenoble, 8 boulevard de l’Esplanade .

Vient découvrir et discuter des bases du soin en action avec une petite partie de bases puis un temps d’échanges et de réponses aux questions.

Attention, cette formation n’est pas une formation aux premiers secours mais bien à des conduites à tenir et astuces en cas de pépins sur les actions.

Merci de remplir ce formulaire pour vous y inscrire :

👉 framaforms.org/inscriptions-pr
👈

Le lieu et les horaires précis de la formation vous seront reconfirmés par email.

Pour être au courant des prochains événements XR Grenoble : listes.extinctionrebellion.fr/

Être au courant des prochains événements Alternatiba Grenoble : grenoble.alternatiba.eu/

Pour en savoir plus sur Extinction Rebellion, nous rejoindre : extinctionrebellion.fr/rejoign

🙋Des questions ? écris nous à grenoble @ extinctionrebellion . fr

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