Une réflexion intéressante de dans "Sens et non-sens" : la s'apparente à la psychanalyse en ce qu'elle décrit (le plus souvent) la subjectivité des personnage "de l'intérieur". Au contraire, le se rapproche plutôt de la démarche . "Si le cinéma veut nous montrer un personnage qui a le vertige, il ne devra pas essayer de rendre le paysage intérieur du vertige, comme Daquin dans Premier de Cordée et Malraux dans Sierra de Terruel ont voulu le faire. Nous sentirons beaucoup mieux le vertige en le voyant de l’extérieur, en contemplant ce corps déséquilibré qui se tord sur un rocher, ou cette marche vacillante qui tente de s’adapter à on ne sait quel bouleversement de l’espace. Pour le cinéma comme pour la psychologie moderne, le vertige, le plaisir, la douleur, l’amour, la haine sont des conduites"

Bon on sent bien que Vertigo n'avait pas encore été réalisé à l'époque où a rédigé ce texte...

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