Sophie Duchesne, directrice du Centre Emile Durkheim : "si on regarde les cursus des gens qui vont être amenés un jour à faire de la science politique à l’université, il semble qu’il s’agisse pour l’essentiel de personnes qui ont voulu éviter les mathématiques. Les politistes français.es à l’international se retrouvent donc dans des arènes dont ils/elles ne maîtrisent pas le langage – et ici on ne parle pas de l’anglais, mais des statistiques. Cela constitue évidemment un handicap." https://www.afsp.info/pdf.php?id=7721&_wpnonce=857b502980
"Dans les universités, il n’y en a pas assez [d'ingénieurs données]. Or ce sont des personnes clés pour aller plus loin dans la réflexion méthodologique, dont nos responsables ne mesurent pas toujours suffisamment l'importance."