On n’a pas assez parlé du fait que les post-doctorants sont la population de chercheurs ayant le plus grand doute sur le respect généralisé de l’intégrité scientifique dans leur domaine… (enquête auprès du personnel de l’Inserm de Michel Dubois et Catherine Guaspare, 2024)
@enroweb Peut-être ont ils et elles observé que la carrière était décorrelée (je suis gentil) de la qualité de la production scientifique et comprennent les manquements à l'intégrité comme systémiques?
Pour les auteurs, c’est le signe d’un clivage générationnel et hiérarchique dans la perception de l’intégrité. Mais pourquoi les doctorants n’ont-ils pas la même désillusion ? Est-ce que les post-doc voient des choses que les autres ne voient pas ? Que se passe-t-il pendant et après leur thèse ?